Candide

Voltaire

 
Candide Voltaire chapitre 2

Résumé du chapitre 2 - Candide Voltaire



Candide est désespéré. Il erre jusqu’à la ville voisine (Valdberghoff-trarbk-dikdorff), mourant de faim et sans argent puis, devant un cabaret, croise deux hommes en uniforme bleu. Les soldats lui annoncent que sa fortune est faite : il a la taille parfaite, et n’aura rien à payer. Candide est alors enrôlé sans le savoir dans l’armée du des Bulgares (c’est-à-dire des Prussiens) où, à force de coups de bâtons, il apprend à marcher au pas. Croyant qu’il est libre, Candide part en promenade jusqu’à ce que des soldats le rattrapent et le jettent au cachot. On lui demande alors de choisir entre plusieurs milliers de coups de bâton et douze balles dans la cervelle. Candide ne comprend pas pourquoi il doit trancher, car Pangloss lui a enseigné la « liberté d’indifférence ». On le roue alors de coups, jusqu’à faire apparaître ses nerfs et ses muscles. Candide demande qu’on l’exécute, ce que les soldats s’apprêtent à faire lorsque passe le roi des Bulgares qui, comprenant que Candide est un métaphysicien (un philosophe) et ne connaît donc rien à la vie, le gracie. Candide est guéri par un chirurgien en quelques semaines semaines alors que le roi s’apprête à combattre le celui des Abares (c’est-à-dire des Austro-Hongrois.)




Citations du chapitre 2 - Candide Voltaire



« (...) les hommes ne sont faits que pour se secourir les uns les autres. - Vous avez raison, dit Candide, c’est que M. Pangloss m’a toujours dit, et je vois bien que tout est au mieux. » (Candide, aux deux soldats.)


« Il eut beau dire que les volontés sont libres ; et qu’il ne voulait ni l’un ni l’autre, il fallait faire un choix ; il se détermina, en vertu du don de Dieu qu’on nomme liberté, à passer trente-six fois par les baguettes. » (A propos de Candide)