Candide

Voltaire

 
Candide Voltaire chapitre 20

Résumé du chapitre 20 - Candide Voltaire



La savant s’appelle Martin. Il est manichéen (une doctrine fondée sur l’opposition entre le bien et le mal.) Le mal, pour lui, est partout.

Pendant qu’ils devisent, deux bateaux combattent à proximité. Celui qui finit par couler n’est autre que celui du pirate hollandais (Vanderdendur). Candide sauve de l’eau un de ses moutons, mais tout son trésor est englouti. Il se trouve néanmoins vengé, et continue de bavarder pendant 15 jours avec Martin.



Citations du chapitre 20 - Candide Voltaire



« Je n’ai guère vu de ville qui ne désirât la ruine de la ville voisine, point de famille qui ne voulût exterminer quelque autre famille. Partout les faibles ont en exécration les puissants devant lesquels ils rampent, et les puissants les traitent comme des troupeau dont on vend la laine et la chair. » (Martin, à Candide).


« ‘‘Vous voyez, dit Candide à Martin, que le crime est puni quelquefois ; ce coquin de patron hollandais a eu le sort qu’il méritait. - Oui, dit Martin, mais fallait-il que les passagers qui étaient sur son vaisseau périssent aussi ? Dieu a puni ce fripon, le diable a noyé les autres.’’ »